Soucieux de relancer plusieurs marques françaises de bonbons, Thierry Gaillard, PDG de Carambar & Co (Carambar, Malabar, Kréma, Lutti, Michoko, etc.), résumait, en octobre 2018 Europe 1, la stratégie du groupe de la sorte : “fabriquer des bonbons de meilleure qualité” et “inventer les bonbons de demain, plus naturels mais toujours aussi bons”.
Ainsi, depuis 2019, la célèbre marque Kréma propose une gamme non seulement bio, mais encore sans gélatine animale. Voici les ingrédients qui entrent dans la composition de ces nouveaux bonbons.
Notons, sur le site du groupe, une avancée que l’on aimerait voir se généraliser à l’ensemble des produits alimentaires : à la fin de chaque fiche produit, après la liste des ingrédients et des informations nutritionnelles, on découvre en un coup d’oeil si le bonbon contient des colorants, de la gélatine animale, du gluten.
Ou encore s’il convient aux végétariens, aux végétaliens, à celles et à ceux allergiques aux fruits à coque ou à l’arachide, etc.
Entendons-nous. Aussi bio et meilleurs que puissent être ces bonbons par rapport à d’autres marques à la composition délétère, il s’agit toujours de sucre raffiné.
Préférons toute l’année faire plaisir à nos enfants et, le cas échéant, à nous-mêmes plutôt avec des fruits frais et goûtus. Il ne s’agit pas de s’interdire totalement quelques sucreries de temps à autre. Il s’agit de ne pas perdre de vue qu’en islam le corps est un dépôt, que nous avons l’obligation de préserver. Lui nuire nous est interdit.
C’est pourquoi les bonbons – de qualité – doivent être selon nous l’exception et non la norme.
L’éviction de la gélatine animale est une stratégie commerciale gagnante.
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L’article Bonbons : des Krema sans gélatine animale et bio est apparu en premier sur Economie islamique.