On se souvient des shuyukhs et imams battus au ping pong.
On se souvient aussi des barbus qui font du ski.
On découvre l’imam en skateboard. En virtuose de skateboard. Avec qamis !
Au-delà de l’aspect cocasse, voilà un des nombreux exemples qui permet de se convaincre qu’être musulman, pratiquant, barbu, n’oblige pas à une vie d’une sordide austérité.